Suivez pas à pas le récit de Galadriel dans le prologue de la série Le Seigneur des Anneaux : Les Anneaux de Pouvoir. - Inscris-toi gratuitement et surfe sans pub !
LE PROLOGUE DE LA SÉRIE EST ÉNONCÉ PAR GALADRIEL
(en vidéo dans notre galerie)
« Au commencement, rien n'est mauvais. Il fut un temps, aux prémices du monde, où le soleil ne s'était jamais levé. Mais même en ce temps-là, une lumière rayonnait. »
« Nous n'avions pas de mot pour la mort, car nous pensions que nos joies jamais ne finiraient. Nous pensions que notre lumière jamais ne t'éteindrait. »
« Alors, lorsque le grand fléau Morgoth détruisit la lumière de notre royaume, nous résistâmes. »
« Une légion entière d'Elfes partit en guerre. Nous quittâmes Valinor, notre foyer, pour nous rendre dans un royaume lointain. »
« Un royaume rempli de périls inconnus et d'innombrables créatures étranges. Un continent que l'on appelle, la Terre du Milieu. »
« Nous pensions que la bataille s'achèverait rapidement, mais la guerre plongea la Terre du Milieu dans la désolation. Et elle perdura des siècles. »
« À présent, la mort a pour nous bien des noms. »
« Morgoth finirait par être vaincu, mais seulement après avoir causé bien des souffrances, car ses Orcs s'étaient répandus dans chaque recoin de la Terre du Milieu. Et ils s'étaient multipliés sous le commandement de son plus fidèle serviteur, un sorcier cruel et fourbe qu'on appelait... Sauron. »
« Mon frère fit le serment de le traquer et de l'anéantir, mais Sauron fut plus rapide que lui et il le marqua d'un symbole que même les plus sages d'entre nous ne pouvaient déchiffrer. C'est là, dans les ténèbres, que son serment est devenu mien. »
« Et c'est ainsi que notre traque débuta. Nous pourchassâmes Sauron jusqu'aux confins de la Terre, mais sa trace s'estompa. »
« Les années passèrent. Les siècles passèrent. Et pour bon nombre d'Elfes, la douleur de cette époque s'atténua avant de disparaître. Pour la plupart de mes congénères, Sauron n'était plus qu'un lointain souvenir et le danger était désormais derrière nous. »
« J'aimerais partager leur insouciance. »